Formalités d’entrée
Les services d’immigration exigent :
- un passeport d’une validité excédant six mois à la date du retour
- un formulaire d’entrée distribué au cours du vol
- un visa à 25 US$ (uniquement en liquide), vendu aux guichets bancaires de l’aéroport d’arrivée.
Communiquer
La langue officielle est l’arabe. Dans la plupart des lieux touristiques, on pourra utiliser l’anglais mais, pour des échanges plus conviviaux, il est conseillé d’avoir des rudiments d’égyptien : salutations, formules de politesse… L’accueil n’en sera que plus chaleureux.
Déplacements
De nombreuses compagnies proposent des vols pour l’Egypte. Le traffic interne, assuré par Egyptair, transite par l’aéroport principal du Caire.
Aéroports
- Le Caire, aéroport principal (Egyptair et compagnies traditionnelles)
- Sphinx, proche des pyramides de Giza (low cost)
- Louxor
- Assouan
- Hurghada (Mer Rouge)
- Sharm-el-Sheikh (Mer Rouge)
Un bon réseau ferroviaire dessert les villes principales. Pour voyager confortablement, il est conseillé de réserver son billet à l’avance et de privilégier les places VIP, vendues à des prix raisonnables.
L’Egypte offre de nombreux services, allant des bus climatisés, des navettes aux micro-bus que l’on arrête d’un signe de la main. Ces derniers circulent en permanence et sont de loin les plus économiques. Pour ceux qui apprécient l’authenticité et ne mettent pas le confort à la première place…
Il est plus difficile de refuser un taxi que d’en trouver un !.. Les prix se faisant souvent à la tête du client, il faut être souple et aimer le marchandage. Un conseil : trouver toujours le prix exorbitant et ne jamais montrer son intérêt… une technique qui s’affute avec la pratique.
Pour éviter le stress : Uber qui offre des prix avantageux et fixes.
Ce moustique de la circulation, très prisé par la population pour les petits déplacements, a infesté la circulation du Caire. Un moment fun et sport dont on se souviendra…
Louer un véhicule peut se révéler dangereux, surtout lorsqu’on n’est pas aguerri à la circulation locale. Celle du Caire requiert un sixième sens et des nerfs à toute épreuve. Pour la zen-attitude : mieux s’abstenir !
Moyen idéal pour visiter certains sites touristiques, le vélo offre une grande liberté et évite les sollicitations des taxis ou des caléchiers. Il est facile de louer un vélo de qualité et, comme toutes choses, son prix se négocie.
Dépenses
La monnaie locale est la Livre égyptienne. Il est conseillé de la retirer directement aux distributeurs de l’aéroport d’arrivée afin de pouvoir régler les dépenses courantes et l’indispensable bakchich. Évitez de le donner en monnaie étrangère car celle-ci n’est pas acceptée par les banques. En règle générale, il convient d’ajouter un 10% à sa note de restaurant et de taxi ; 50 à 100 livres pour les services courants d’hôtel et laisser un minimum de 200 livres en quittant sa chambre.
Les notes d’hôtel se règlent toutes par carte de crédit, de même que les entrées aux sites.
La devise officielle est le $. Elle est requise pour le visa d’entrée, sert à régler les billets de train et remplace dans la plupart des cas la monnaie locale.
Téléphonie, Internet
Les frais de roaming étant élevés, il est conseillé de se restreindre à la wifi ou d’acquérir une carte
sim locale dans un aéroport.
Les communications whatsap, même en wifi, sont payantes et la facture grimpe vite.